Currently displaying 1 – 14 of 14

Showing per page

Order by Relevance | Title | Year of publication

Quotients de fonctions définies-négatives et synthèse spectrale

Francis Hirsch — 1980

Annales de l'institut Fourier

On considère l’espace E = L 2 ( Ψ 2 . Ψ 1 - 1 d x ) Ψ 2 et Ψ 1 sont deux fonctions définies-négatives, réelles et continues sur R n . On étudie la possibilité d’approcher, au sens de la norme de E , tout élément φ de E par des combinaisons linéaires d’éléments de E qui sont transformés de Fourier de mesures positives de support inclus dans le spectre de φ . Des méthodes de théorie du potentiel permettent de donner une réponse positive (sous certaines hypothèses additionnelles). On obtient ainsi des généralisations, au cas de R n ,...

Intégrales de résolvantes et calcul symbolique

Francis Hirsch — 1972

Annales de l'institut Fourier

Soit f une transformée de Stieltjes. Notant H f un prolongement de la fonction f ( z - 1 ) à ( C R * { } ) , on définit, pour tout espace de Banach X et pour tout opérateur V sur X qui soit de domaine dense, fermé, d’ensemble résolvant contenant R * et qui vérifie sup λ > 0 ( I + λ V ) - 1 < , un opérateur H f ( V ) qui est un opérateur sur X de même nature que V . On montre que l’on a σ e [ H f ( V ) ] = H f [ σ e ( V ) ] (où σ e désigne le spectre étendu). En outre, l’opération H f a d’excellentes propriétés de stabilité. En particulier, si f 0 et si V est un potentiel abstrait, H f ( V ) est un potentiel...

Familles résolvantes, générateurs, co-générateurs, potentiels

Francis Hirsch — 1972

Annales de l'institut Fourier

Nous étudions, dans les espaces de Banach, les familles résolvantes (ou pseudo-résolvantes) ( R λ ) λ > 0 et les “générateurs” qu’on peut leur associer quand λ tend vers zéro ou quand λ tend vers l’infini. Lorsque la famille résolvante est à contraction, ces “générateurs” qu’on peut leur associer quand λ tend vers zéro ou quand λ tend vers l’infini. Lorsque la famille résolvante est à contraction, ces “générateurs” vérifient des “principes du maximum” qui sont des versions “abstraites” de principes du maximum...

Familles d'opérateurs potentiels

Francis Hirsch — 1975

Annales de l'institut Fourier

Ce travail se compose de trois parties. Dans la première partie nous donnons quelques résultats sur les noyaux-mesure de Hunt sur R + . Nous caractérisons à ce propos les transformées de Laplace des fonctions logarithmiquement convexes et dé-crois-san-tes sur R + . Dans la deuxième partie, nous démontrons que, si μ est un noyau-mesure de Hunt sur R + et si ( P t ) t 0 est un semi-groupe à contraction dans un espace de Banach X tel que son générateur infinitésimal soit d’image dense, alors l’opérateur P t d μ ( t ) défini au...

On ℝd-valued peacocks

Francis HirschBernard Roynette — 2013

ESAIM: Probability and Statistics

In this paper, we consider ℝ-valued integrable processes which are increasing in the convex order, ℝ-valued peacocks in our terminology. After the presentation of some examples, we show that an ℝ-valued process is a peacock if and only if it has the same one-dimensional marginals as an ℝ-valued martingale. This extends former results, obtained notably by Strassen [36 (1965) 423–439], Doob [2 (1968) 207–225] and Kellerer [198 (1972) 99–122].

A new proof of Kellerer’s theorem

Francis HirschBernard Roynette — 2012

ESAIM: Probability and Statistics

In this paper, we present a new proof of the celebrated theorem of Kellerer, stating that every integrable process, which increases in the convex order, has the same one-dimensional marginals as a martingale. Our proof proceeds by approximations, and calls upon martingales constructed as solutions of stochastic differential equations. It relies on a uniqueness result, due to Pierre, for a Fokker-Planck equation.

A new proof of Kellerer’s theorem

Francis HirschBernard Roynette — 2012

ESAIM: Probability and Statistics

In this paper, we present a new proof of the celebrated theorem of Kellerer, stating that every integrable process, which increases in the convex order, has the same one-dimensional marginals as a martingale. Our proof proceeds by approximations, and calls upon martingales constructed as solutions of stochastic differential equations. It relies on a uniqueness result, due to Pierre, for a Fokker-Planck equation.

Page 1

Download Results (CSV)