Connaissance mathématique, connaissance logique, omniscience : répliques d'un dialogue
J.-P. Benzécri (1990)
Cahiers de l'analyse des données
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J.-P. Benzécri (1990)
Cahiers de l'analyse des données
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Jacques Courcier (1989)
Mathématiques et Sciences Humaines
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E. Coumet (1966)
Mathématiques et Sciences Humaines
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Elisabeth Schwartz (1996)
Philosophia Scientiae
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E. Coumet (1966)
Mathématiques et Sciences Humaines
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E. Coumet (1966)
Mathématiques et Sciences Humaines
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Kevin Mulligan (2006)
Philosophia Scientiae
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«Husserl s’est complètement disloqué...il hésite et raconte des banalités à faire pitié...il commence à pressentir que plus personne ne le suit — il pense naturellement que c’est trop difficile — naturellement, , personne n’y comprend rien...et aujourd’hui, à Berlin, ça veut sauver le monde...» (Heidegger, 1923 — souligné par moi ; Heidegger & Jaspers 1990, 43)
Jean-Pierre Ginisti (1991)
Mathématiques et Sciences Humaines
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The aim of this paper is to present the great kinds of definitions known in mathematical logic, their goals and their means, from their historical and philosophical background (notably thanks to the proof of two theorems), and in order to situate, within this field, the others contributions which make up this number.
Anne-Françoise Schmid (2005)
Philosophia Scientiae
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Le logicisme de Russell consiste en une thèse affirmant que toutes les mathématiques pures peuvent être exprimées à l’aide de constantes logiques et de variables. Il est compris habituellement comme une des mathématiques pures à la logique. Pourtant cette thèse est une garantie de des mathématiques au nombre et à la grandeur, de l’arithmétique aux seuls nombres finis, de la géométrie à celle d’Euclide, de la logique à la syllogistique. Le logicisme ne peut donc être interprété comme...