Droites discrètes et calendriers
La structure d'un calendrier peut être décrite par une suite de formes quasi-affines. Une telle suite, que j'appellerai base quasi-affine, généralise la notion de base de numération. Le problème de la conversion de dates est ainsi ramené à l'écriture du Jour Julien dans une telle base. Un algorithme de reconnaissance de droites discrètes permet d'obtenir la bonne base quasi-affine. À titre d'exemples sont traités les calendriers julien, grégorien, musulman et judaïque.