Displaying similar documents to “Structure des cônes de potentiels”

Sur une famille de cônes réticulés avec domination (les D -cônes)

Marouan Ajlani (1974)

Annales de l'institut Fourier

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Il s’agit de représenter certains cônes réticulés par des cônes adaptés de fonctions continues sur un espace localement compact. Nous étudions le cône des opérateurs positifs majorés par un multiple de l’identité sur un cône réticulé, le représentons et donnons des conditions nécessaires et suffisantes pour qu’il soit riche (théorème d’Urysohn). Quelques illustrations sont données à la fin dans le cadre des espaces de type M de Kakutani.

Principe du minimum et maximalité en théorie du potentiel

Gabriel Mokobodski, Daniel Sibony (1967)

Annales de l'institut Fourier

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Dans ce travail, on s’est posé le problème suivant : étant donné un cône convexe S de fonction s.c.i. sur Ω localement compact, à quelles conditions L est-il le cône des fonctions surharmoniques dans Ω pour une certaine théorie locale du potentiel, à construire effectivement à partir de S  ? On montre que si S est maximal (dans l’ensemble des cônes de fonctions vérifiant un principe du minimum), séparant et contient assez de fonctions continues, on peut construire un faisceau de cônes...

Familles additives de cônes convexes et noyaux subordonnés

Gabriel Mokobodzki, Daniel Sibony (1968)

Annales de l'institut Fourier

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On donne un cadre abstrait pour construire des noyaux de Hunt ; on donne des critères pour l’existence et l’unicité de tels noyaux dans le cas non métrisable. Cette étude prolonge le travail des auteurs sur la théorie globale du potentiel.

Familles d'opérateurs et frontière en théorie du potentiel

Georges Lion (1966)

Annales de l'institut Fourier

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Le début de ce travail est consacré à l’étude de certains principes de théorie du potentiel, spécialement le principe de domination et le principe complet du maximum. Le résultat essentiel est l’équivalence de chacun de ces deux principes avec l’existence d’une famille résolvante, sous-markovienne dans le second cas. Des hypothèses supplémentaires permettent ensuite d’associer un semi-groupe à la famille résolvante construite précédemment. Citons l’hypothèse de séparation de Ray, moins...