Displaying similar documents to “Orthogonal symmetric pairs and the Rouvière isomorphism. (Paires symétriques orthogonales et isomorphisme de Rouvière.)”

Tore de l’inertie modérée

Lionel Dorat (2008)

Journal de Théorie des Nombres de Bordeaux

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Nous étudions dans cet article les représentations cristallines vérifiant les conditions de Fontaine-Laffaille, en particulier l’image de l’inertie modérée. A partir de cette image, nous définissons un tore et une représentation de ce tore, dont nous montrons qu’elle est à valeurs (sous certaines conditions) dans l’adhérence de Zariski de l’image de la représentation galoisienne, et nous donnons le lien entre cette représentation du tore et le groupe à un paramètre de Hodge-Tate (tout...

Classes de Wadge potentielles et théorèmes d'uniformisation partielle

Dominique Lecomte (1993)

Fundamenta Mathematicae

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On cherche à donner une construction aussi simple que possible d'un borélien donné d'un produit de deux espaces polonais. D'où l'introduction de la notion de classe de Wadge potentielle. On étudie notamment ce que signifie "ne pas être potentiellement fermé", en montrant des résultats de type Hurewicz. Ceci nous amène naturellement à des théorèmes d'uniformisation partielle, sur des parties "grosses", au sens du cardinal ou de la catégorie.

Dynamique des polynômes quadratiques sur les corps locaux

Robert Benedetto, Jean-Yves Briend, Hervé Perdry (2007)

Journal de Théorie des Nombres de Bordeaux

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Dans cette note, nous montrons que la dynamique d’un polynôme quadratique sur un corps local peut être déterminée en temps fini, et que l’on a l’alternative suivante : soit l’ensemble de Julia est vide, soit P y est conjugué au décalage unilatéral sur 2 symboles.

Bases communes holomorphes: nouvelle extension du théorème de Whittaker

Nguyen Thanh Van, Patrice Lassere (1993)

Annales Polonici Mathematici

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Résumé. Soient D un ouvert de ℂ et E un compact de D. Moyennant une hypothèse assez faible sur D et ℂ̅ E on montre que si α ∈ ]0,1[ vérifie D α D E , D α étant l’ouvert de niveau z ∈ D : ω(E,D,z) < α, alors toute base commune de O(E) et O(D) est une base de O ( D α ) .