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Lazare Carnot et la généralité en géométrie. Variations sur le théorème dit de Menelaus

Karine Chemla (1998)

Revue d'histoire des mathématiques

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Comment introduire de la généralité dans un monde géométrique où une foule de vérités particulières, établies par des méthodes , restent sans liaison entre elles et forment donc un ensemble sans organisation ? En suivant les divers traitements d’un unique théorème, appelé aujourd’hui le , le présent article vise à examiner comment les travaux géométriques de Lazare Carnot ont indiqué, aux géomètres comme Poncelet ou Chasles qui posaient cette question, diverses pistes pour y répondre. ...

Comment définir la nature des textes mathématiques de l’Antiquité grecque tardive ? Proposition de réforme de la notion de ‘textes deutéronomiques’

Alain Bernard (2003)

Revue d'histoire des mathématiques

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J’examine dans cet article la proposition faite par Reviel Netz de caractériser les textes mathématiques de l’Antiquité grecque tardive comme « deutéronomiques ». J’en critique tout d’abord d’importantes faiblesses. D’une part, elle s’appuie, tout en la réformant, sur l’idée d’une « décadence » qui serait propre à la période considérée. Or j’argumente que cette idée, même réformée, ne constitue ni un bon point de départ pour l’étude des travaux de cette époque, ni même une bonne description...

La proportionnalité numérique dans le livre VII des Éléments de Campanus

Sabine Rommevaux (1999)

Revue d'histoire des mathématiques

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La version des d’Euclide de Campanus (xiiie siècle) n’est pas une traduction mais une recension faite à partir de versions arabo-latines du xiiie siècle et d’ouvrages originaux comme l’ de Jordanus. L’étude de la théorie de la proportionnalité numérique du Livre VII montre la nature et l’ampleur du travail de Campanus sur le traité euclidien tel qu’il lui a été transmis. Nous verrons que ses réflexions s’inscrivent dans le projet euclidien lui-même qu’il cherche à expliciter et à renforcer,...

Mécanique et géométrie dans les écrits de Mécanique de John Wallis. Le calcul du centre de gravité

Luigi Maierù (2004)

Revue d'histoire des mathématiques

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John Wallis publie entre 1669 et 1671 les trois parties de son traité de , qu’il caractérise lui-même comme un traité de géométrie. La mécanique est située à l’intérieur de la géométrie, dont elle partage les méthodes, puisque les propriétés du mouvement sont démontrées . Wallis veut fonder la mécanique sur de nouvelles bases. Pour cela, il y applique une méthode qu’il a élaborée dans l’, en partant de la méthode des indivisibles de Cavalieri, et qu’il a déjà expérimentée en géométrie....

Éditorial

(2006)

Revue d'histoire des mathématiques

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La réception des Vorlesungen über neuere Geometrie de Pasch par Peano

Sébastien Gandon (2006)

Revue d'histoire des mathématiques

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Peano écrit en 1888 le . Un an après, il publie , où il développe, dans le sillage des de Pasch, une axiomatisation de la géométrie. Comment concevoir le rapport entre ce projet et celui du calcul géométrique ? Dans cet article, nous soulignons le profond fossé entre les deux entreprises : alors que l’élaboration d’une algèbre géométrique vise chez Peano à manifester la singularité des grandeurs spatiales par rapport aux nombres, l’axiomatisation se développe de façon autonome et sans...

La théorie des séries de Nicole Oresme dans sa perspective aristotélicienne. ‘Questions 1 et 2 sur la Géométrie d’Euclide’

Edmond Mazet (2003)

Revue d'histoire des mathématiques

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Oresme est connu, entre autres choses, pour avoir développé dans ses une « théorie des séries », incluant la nature et la sommation des séries géométriques ainsi que la divergence de la série harmonique. Dans le présent article on se propose de voir en quel sens Oresme a réellement développé une théorie des séries, en situant cette théorie dans le cadre des conceptions mathématiques médiévales. Cette théorie peut être vue comme un approfondissement mathématique des notions aristotéliciennes...