Au sujet des cas d’impossibilité d’une solution en nombres entiers de l’équation
E. de Jonquières (1878)
Nouvelles annales de mathématiques : journal des candidats aux écoles polytechnique et normale
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E. de Jonquières (1878)
Nouvelles annales de mathématiques : journal des candidats aux écoles polytechnique et normale
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Jean-René Joly (1977-1978)
Séminaire de théorie des nombres de Grenoble
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(1885)
Nouvelles annales de mathématiques : journal des candidats aux écoles polytechnique et normale
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Édouard Lucas (1878)
Nouvelles annales de mathématiques : journal des candidats aux écoles polytechnique et normale
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Jimena Sivak-Fischler (2009)
Bulletin de la Société Mathématique de France
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On montre à l’aide de méthodes de crible, de méthodes issues de la théorie des formes automorphes et de géométrie algébrique ainsi qu’à l’aide de la loi de Sato-Tate verticale que le signe des sommes de Kloosterman change une infinité de fois pour parcourant les entiers sans facteur carré ayant au plus facteurs premiers. Ceci améliore un résultat précédent de Fouvry et Michel qui avaient obtenu à la place de .
Tena Ayuso (1971-1972)
Séminaire de théorie des nombres de Grenoble
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B. Morlaye (1975-1977)
Séminaire de théorie des nombres de Grenoble
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Boris Adamczewski (2004)
Acta Arithmetica
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Pierrette Cassou-Nogues (1977-1978)
Séminaire de théorie des nombres de Grenoble
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Pascal Autissier (2009)
Annales scientifiques de l'École Normale Supérieure
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Soit une variété projective sur un corps de nombres (resp. sur ). Soit la somme de « suffisamment de diviseurs positifs » sur . On montre que tout ensemble de points quasi-entiers (resp. toute courbe entière) dans est non Zariski-dense.
Mireille Car (2004)
Acta Arithmetica
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Thomas Blossier, Amador Martin-Pizarro (2014)
Confluentes Mathematici
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Dans une belle paire de modèles d’une théorie stable ayant élimination des imaginaires sans la propriété de recouvrement fini, tout groupe définissable se projette, à isogénie près, sur les points -rationnels d’un groupe définissable dans le réduit à paramètres dans . Le noyau de cette projection est un groupe définissable dans le réduit. Un groupe interprétable dans une paire de corps algébriquement clos où est une extension propre de est, à isogénie près, l’extension...