Displaying similar documents to “Régularité conormale classique des problèmes de Cauchy et de réflexion transverse pour un système 2 × 2 semi-linéaire”

Sur l’équation de Monge-Ampère complexe dans la boule de n

Alain Dufresnoy (1989)

Annales de l'institut Fourier

Similarity:

On considère le problème de Dirichlet : ( d d c u ) n = 0 dans B et u | B = ϕ B désigne la boule unité de n . Nous donnons une démonstration simple du fait que si ϕ C 1 , 1 ( B ) , alors u C 1 , 1 ( B ) ; de plus la croissance du coefficient de Lipschitz de la différentielle de u est contrôlée par l’inverse de la distance au bord.

Un résultat sur les fonctions de classe C 1 , α et application au problème de Cauchy

Robert Dalmasso (1986)

Annales de l'institut Fourier

Similarity:

Nous montrons principalement que, si f 0 est une fonction différentiable sur un intervalle [ 0 , T ] , si sa dérivée est höldérienne d’ordre α avec 0 < α 1 et si f ' ( 0 ) = 0 (resp. f ' ( T ) = 0 ) quand f ( 0 ) = 0 (resp. f ( T ) = 0 ) alors f 1 / ( 1 + α ) , qui est absolument continue, admet (presque partout) une dérivée bornée presque partout.

Perturbation singulière en dimension trois : canards en un point pseudo-singulier nœud

Éric Benoît (2001)

Bulletin de la Société Mathématique de France

Similarity:

On étudie les systèmes différentiels singulièrement perturbés de dimension 3 du type { x ˙ = f ( x , y , z , ε ) , y ˙ = g ( x , y , z , ε ) , ε z ˙ = h ( x , y , z , ε ) , f , g , h sont analytiques quelconques. Les travaux antérieurs étudiaient les points réguliers où la surface lente h = 0 est transverse au champ rapide vertical. C’est le domaine d’application du théorème de Tikhonov. Dans d’autres travaux antérieurs, on étudiait les singularités de certains types : plis et fronces de la surface lente, ainsi que certaines singularités plus compliquées,...

Représentation des entiers naturels et suites uniformément équiréparties

Jean Coquet (1982)

Annales de l'institut Fourier

Similarity:

s ( n ) désigne la somme des chiffres de l’entier n en base q et σ α ( n ) la somme des chiffres de n associée au développement de α en fraction continue. Dans un article paru aux Annales de l’Institut Fourier (31 (1981), 1–15), Coquet, Rhin et Toffin montrent que, lorsque x ou y est irrationnel, la suite x s + y σ α est équirépartie modulo 1. On précise ici que l’équirépartition est uniforme.

Sur une équation de Langmuir généralisée

René Gosse (1949)

Annales de l'institut Fourier

Similarity:

Cet article posthume extrait de notes ou brouillons par E. Cotton concerne, pour les équations de la forme y ' ' + y ' p ( x , y , y ' ) + q ( x ) d a ( y ) d y = f ( y ) , la solution définie par les conditions initiales x = x 0 , y = y 0 , y ' = 0 . Après avoir énoncé des hypothèses concernant les fonctions p , q , a , f , l’auteur montre que toute solution qui passe par un minimum pour x = x 0 , reste supérieure à ce minimum pour x > x 0 et que, dans ces mêmes conditions, | y | et | y ' | restent bornés. Enfin, lorsque p a une borne inférieure positive, y ' tend vers zéro avec...