Displaying similar documents to “Sur la dimension cohomologique des pro- p -extensions des corps de nombres”

Sur la p -torsion de certains modules galoisiens

Thong Nguyen-Quang-Do (1986)

Annales de l'institut Fourier

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Étant donné un corps de nombres K et un nombre premier p , soit 𝒯 K le sous-module de Z p -torsion du groupe de Galois de la p -extension abélienne p -ramifiée maximale de K . On se propose d’étudier la structure de module galoisien de 𝒯 K . Si K vérifie la conjecture de Leopoldt, 𝒯 K contient un sous-module formé des racines p -primaires de l’unité semi-locales quotientées par les racines p -primaires de l’unité globales, et le quotient de 𝒯 K par ce sous-module peut s’interpréter de deux façons : soit...

Une formule de Riemann-Hurwitz pour le groupe de Selmer d'une courbe elliptique

Alexis Michel (1993)

Annales de l'institut Fourier

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Soit E une courbe elliptique avec multiplication complexe, définie sur un corps de nombres F . Soit p un nombre premier. En ajoutant certains points de p -torsion de E à F , on construit une p -extension F de F . On associe à F un groupe de Selmer. Pour une p -extension galoisienne de F , Wingberg a montré, sous les conjectures arithmétiques usuelles, un analogue de la formule de Riemann-Hurwitz pour le corang du groupe de Selmer en haut de la tour. Nous donnons une nouvelle preuve...

Unités cyclotomiques, unités semi-locales et -extensions. II

Roland Gillard (1979)

Annales de l'institut Fourier

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Soient K un corps abélien réel, un nombre premier, premier à [ K : Q ] et Y n le quotient du groupe des unités semi-locales de K ( 1 n ) par celui des unités cyclotomiques : on donne la structure galoisienne de la limite projective des Y n , généralisant un théorème d’Iwasawa, et on applique ceci à la comparaison de conjecture classique sur la limite projective des groupes de classes.

S -classes infinitésimales d’un corps de nombres algébriques

Jean-François Jaulent (1984)

Annales de l'institut Fourier

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Nous introduisons les notions de nombres et d’idéaux infinitésimaux attachés à un corps de nombres algébriques K relativement à un nombre premier donné , et nous interprétons le groupe de Galois 𝒜 ( K ) de la -extension abélienne -ramifiée maximale de K comme quotient du tensorisé Z Z J ( K ) du groupe des idéaux étrangers à par le sous-module engendré par les idéaux principaux-infinitésimaux. Nous en déduisons diverses conséquences sur l’arithmétique des groupes 𝒜 ( K ) , en montrant en particulier qu’ils...

Descente et parallélogramme galoisiens

Richard Massy, Sylvie Monier-Derviaux (1999)

Journal de théorie des nombres de Bordeaux

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Soit p un nombre premier impair. Soit D / J une p -extension galoisienne de corps ne contenant pas les racines p -ièmes de l’unité : J μ p = 1 . Notons G le groupe de Galois de D / J et Φ ( G ) son sous-groupe de Frattini. Via une notion de descente galoisienne et les parallélogrammes galoisiens qu’elle induit, nous construisons ici toutes les extensions D / J telles que Φ ( G ) soit d’ordre p .

Unités et classes dans les extensions métabéliennes de degré n s sur un corps de nombres algébriques

Jean-François Jaulent (1981)

Annales de l'institut Fourier

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Soit N une extension cyclique -primaire d’un corps de nombres K . On suppose que N est métabélienne sur un sous-corps H d’indice n dans K , pour un n étranger à  ; on note G son groupe de Galois de T un relèvement dans G du quotient Gal ( K / H ) . On étudie la structure galoisienne des groupes de -classes de N et on s’intéresse en particulier à leurs ψ -composantes, lorsque ψ parcourt le groupe des caractères -adiques irréductibles de T . Le choix d’un générateur convenable θ dans l’idéal d’augmentation...

La théorie de Kummer et le K 2 des corps de nombres

Jean-François Jaulent (1990)

Journal de théorie des nombres de Bordeaux

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Nous associons à chaque corps de nombres K un groupe universel K 2 ¯ ( K ) analogue au groupe symbolique K 2 ( K ) , et deux sous-groupes canoniques finis R 2 ¯ ( K ) et H 2 ¯ ( K ) , qui correspondent aux noyaux réguliers et hilbertien de la K -théorie, et permettent d’expliciter les correspondances remarquables entre divers modules galoisiens classiques faisant intervenir les conjectures de Leopoldt et de Gross.