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Régularité conormale classique des problèmes de Cauchy et de réflexion transverse pour un système 2 × 2 semi-linéaire

B. Nadir, Jean-Pierre Varenne (1990)

Annales de l'institut Fourier

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On considère un système semi-linéaire du premier ordre de taille 2 × 2 dans un ouvert de n , une hypersurface S non caractéristique et une hypersurface Γ de S . On suppose que, par Γ , passent deux hypersurfaces caractéristiques Σ 1 , Σ 2 transverses et que les bicaractéristiqiues sur Σ 1 , Σ 2 sont transverses à Γ . Soit u une solution dans une demi-région Ω délimitée par σ . On suppose que u est la restriction à Ω d’une distribution conormale par morceaux par rapport à Σ 1 , Σ 2 . Pour le problème de Cauchy,...

Sur l’équation de Monge-Ampère complexe dans la boule de n

Alain Dufresnoy (1989)

Annales de l'institut Fourier

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On considère le problème de Dirichlet : ( d d c u ) n = 0 dans B et u | B = ϕ B désigne la boule unité de n . Nous donnons une démonstration simple du fait que si ϕ C 1 , 1 ( B ) , alors u C 1 , 1 ( B ) ; de plus la croissance du coefficient de Lipschitz de la différentielle de u est contrôlée par l’inverse de la distance au bord.

Représentation des entiers naturels et suites uniformément équiréparties

Jean Coquet (1982)

Annales de l'institut Fourier

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s ( n ) désigne la somme des chiffres de l’entier n en base q et σ α ( n ) la somme des chiffres de n associée au développement de α en fraction continue. Dans un article paru aux Annales de l’Institut Fourier (31 (1981), 1–15), Coquet, Rhin et Toffin montrent que, lorsque x ou y est irrationnel, la suite x s + y σ α est équirépartie modulo 1. On précise ici que l’équirépartition est uniforme.

Pseudo-immersions

Henri Joris, Emmanuel Preissmann (1987)

Annales de l'institut Fourier

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Si f est un germe 𝒞 de ( R n , 0 ) , on dira que f est une (on notera f Ψ n , m ) si tous les germes continus g de ( R , 0 ) dans ( R m , 0 ) , tels que f g 𝒞 sont eux-mêmes 𝒞 . On détermine complètement Ψ n , 1 , et on montre que Ψ 2 , 2 = Diff 2 . Par ailleurs, si K = R ou C et si g est une application de K dans K telle que g 2 et g 3 sont 𝒞 , alors g est aussi 𝒞 . Si K = H (corps des hamiloniens) alors cette implication n’est plus vraie.

Un résultat sur les fonctions de classe C 1 , α et application au problème de Cauchy

Robert Dalmasso (1986)

Annales de l'institut Fourier

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Nous montrons principalement que, si f 0 est une fonction différentiable sur un intervalle [ 0 , T ] , si sa dérivée est höldérienne d’ordre α avec 0 < α 1 et si f ' ( 0 ) = 0 (resp. f ' ( T ) = 0 ) quand f ( 0 ) = 0 (resp. f ( T ) = 0 ) alors f 1 / ( 1 + α ) , qui est absolument continue, admet (presque partout) une dérivée bornée presque partout.

Sur une équation de Langmuir généralisée

René Gosse (1949)

Annales de l'institut Fourier

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Cet article posthume extrait de notes ou brouillons par E. Cotton concerne, pour les équations de la forme y ' ' + y ' p ( x , y , y ' ) + q ( x ) d a ( y ) d y = f ( y ) , la solution définie par les conditions initiales x = x 0 , y = y 0 , y ' = 0 . Après avoir énoncé des hypothèses concernant les fonctions p , q , a , f , l’auteur montre que toute solution qui passe par un minimum pour x = x 0 , reste supérieure à ce minimum pour x > x 0 et que, dans ces mêmes conditions, | y | et | y ' | restent bornés. Enfin, lorsque p a une borne inférieure positive, y ' tend vers zéro avec...