Displaying similar documents to “Complétude des noyaux reproduisants dans les espaces modèles”

Invariants d'un sous-groupe unipotent maximal d'un groupe semi-simple

Michel Brion (1983)

Annales de l'institut Fourier

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Soit G un groupe algébrique semi-simple complexe, U un sous-groupe unipotent maximal de G , T un tore maximal de G normalisant U . Si V est un G -module rationnel de dimension finie, alors G opère sur l’algèbre C [ V ] des fonctions polynomiales sur V ; la structure de G -module de C [ V ] est décrite par la T -algèbre C [ V ] U des U -invariants de C [ V ] . Cette algèbre est de type fini et multigraduée (par le degré de C [ V ] et le poids par rapport à T ). On donne une formule intégrale pour la série de Poincaré de cette...

Les opérateurs semi-Fredholm sur des espaces de Hilbert non séparables

Haïkel Skihri (1999)

Studia Mathematica

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The aim of this paper is to study the α-semi-Fredholm operators in a nonseparable Hilbert space H for all cardinals α with 0 α d i m H . In the first part, we find the relation between γ α ( T ) and c ( π α ( T ) ) for all 0 -regular cardinals α, where γ α is the reduced minimum modulus of weight α, c is the reduced minimum modulus (in a C*-algebra) and π α is the canonical surjection from B(H) onto C α ( H ) = B ( H ) / K α ( H ) . We study the continuity points of the maps c α : T c ( π α ( T ) ) and γ α : T γ α ( T ) . In the second part, we prove some approximation results for semi-Fredholm...

Quelques résultats sur les solutions de systèmes d'inéquations de type parabolique

Gérard Reynaud (1977)

Annales de l'institut Fourier

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On considère un opérateur L défini par L u = i = 1 n D i P i , p ( u ) - k = 1 N D t [ α p , k u k ] u est une application de Ω × [ 0 , T ] dans R N ( Ω ouvert quelconque de R n ), P i , p ( u ) ( 1 i n ; 1 p N ) sont des opérateurs du premier ordre P i , p ( u ) = j , k a i j k p D j u k dans le cas linéaire), α p k et a i j k p sont des fonctions non nécessairement bornées de Ω × [ 0 , T ] . On démontre, sous certaines hypothèses, que les solutions de - 2 u L u c 1 u 2 + μ i , p D i u p . P i , p ( u ) ( c 1 fonction de Ω × [ 0 , T ] , μ constante positive inférieure à 2), vérifient : t Ω Φ 2 α p , k u p . u k d x est décroissante ( Φ 2 fonction poids convenablement choisie). De ce résultat, on obtient...

Pseudo-laplaciens. I

Yves Colin de Verdière (1982)

Annales de l'institut Fourier

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On construit, sur une variété riemannienne X de dimension 2 ou 3 , les extensions autoadjointes Δ α , x 0 ( α R / π Z ) de la restriction du laplacien aux fonctions nulles au voisinage d’un point x 0 de X . On calcule explicitement les valeurs propres de Δ α , x 0 .

Un résultat sur les fonctions de classe C 1 , α et application au problème de Cauchy

Robert Dalmasso (1986)

Annales de l'institut Fourier

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Nous montrons principalement que, si f 0 est une fonction différentiable sur un intervalle [ 0 , T ] , si sa dérivée est höldérienne d’ordre α avec 0 < α 1 et si f ' ( 0 ) = 0 (resp. f ' ( T ) = 0 ) quand f ( 0 ) = 0 (resp. f ( T ) = 0 ) alors f 1 / ( 1 + α ) , qui est absolument continue, admet (presque partout) une dérivée bornée presque partout.

Régularité Besov des trajectoires du processus intégral de Skorokhod

Gérard Lorang (1996)

Studia Mathematica

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Let W t : 0 t 1 be a linear Brownian motion, starting from 0, defined on the canonical probability space (Ω,ℱ,P). Consider a process u t : 0 t 1 belonging to the space 2 , 1 (see Definition II.2). The Skorokhod integral U t = ʃ 0 t u δ W is then well defined, for every t ∈ [0,1]. In this paper, we study the Besov regularity of the Skorokhod integral process t U t . More precisely, we prove the following THEOREM III.1. (1)If 0 < α < 1/2 and u p , 1 with 1/α < p < ∞, then a.s. t U t p , q α for all q ∈ [1,∞], and t U t p , α , 0 . (2) For every even...

Sur certains ensembles normaux

J.-P. Borel (1989)

Journal de théorie des nombres de Bordeaux

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Λ étant une suite de nombres réels, soit B ( Λ ) l’ensemble normal associé. Pour A , nous étudions la question : existe-t-il une suite Λ à valeurs dans un intervalle borné I telle que A = B ( Λ ) ? Dans l’affirmative, nous cherchons alors à minimiser la longueur de l’intervalle I . Dans les cas les plus simples, où A , ce problème se ramène à minimiser le degré de Q [ X ] , avec la contrainte « P Q a tous ses coefficients positifs», pour des polynômes P de type très particulier associés aux ensembles...