Displaying similar documents to “Surfaces kählériennes de volume fini et équations de Seiberg-Witten”

Un résultat générique d’unicité pour les équations d’évolution

Laure Saint-Raymond (2002)

Bulletin de la Société Mathématique de France

Similarity:

Soit un espace topologique, ' un espace métrique et ( S ) un système d’équations d’évolution admettant une solution dans  ' pour toute donnée initiale dans  et stable vis-à-vis des données initiales sur . On montre que l’ensemble des données initiales pour lesquelles ( S ) admet une unique solution est un G δ de . En particulier, si l’unicité est vraie sur un sous-ensemble dense de , elle l’est génériquement.

Minoration du spectre des variétés hyperboliques de dimension 3

Pierre Jammes (2012)

Bulletin de la Société Mathématique de France

Similarity:

Soit M une variété hyperbolique compacte de dimension 3, de diamètre  d et de volume V . Si on note μ i ( M ) la i -ième valeur propre du laplacien de Hodge-de Rham agissant sur les 1-formes coexactes de M , on montre que μ 1 ( M ) c d 3 e 2 k d et μ k + 1 ( M ) c d 2 , où c > 0 est une constante ne dépendant que de V , et k est le nombre de composantes connexes de la partie mince de M . En outre, on montre que pour toute 3-variété hyperbolique M de volume fini avec cusps, il existe une suite M i de remplissages compacts de M , de diamètre d i + telle...

Une construction de

Pierre Colmez (2012)

Rendiconti del Seminario Matematico della Università di Padova

Similarity:

Tangences homoclines stables pour des ensembles hyperboliques de grande dimension fractale

Carlos Gustavo Moreira, Jean-Christophe Yoccoz (2010)

Annales scientifiques de l'École Normale Supérieure

Similarity:

Soit F 0 un difféomorphisme d’une surface possédant deux fers à cheval Λ , Λ ' tels que W s Λ et W u Λ ' aient en un point q une tangence quadratique isolée. Nous montrons que, si la somme des dimensions transverses de W s Λ et W u Λ ' est strictement plus grande que 1, les difféomorphismes voisins de F 0 tels que W s Λ et W u Λ ' soient stablement tangents au voisinage de q forment une partie de densité inférieure strictement positive en F 0 .

Résultats sur la conjecture de dualité étrange sur le plan projectif

Gentiana Danila (2002)

Bulletin de la Société Mathématique de France

Similarity:

La conjecture de « dualité étrange » de Le Potier donne un isomorphisme entre l’espace des sections du fibré déterminant sur deux espaces de modules différents de faisceaux semi-stables sur le plan projectif 2 . On considère deux classes orthogonales c , u dans l’algèbre de Grothendieck K ( 2 ) telles que c est de rang strictement positif et u est de rang zéro, et on note M c et M u les espaces de modules de faisceaux semi-stables de classe c , respectivement u sur 2 . Il existe sur M c (resp. M u ) un fibré...

Un q -analogue du Théorème de Fukazawa-Gel’fond-Gramain

Jean-Paul Bézivin (2014)

Annales de la faculté des sciences de Toulouse Mathématiques

Similarity:

Soit q dans tel que | q | 2 . Dans cette note, nous démontrons que si une fonction entière f a une croissance assez lente et si f ( q n + i q m ) [ i ] pour n , m , alors f est un polynôme.

Courbes multiples primitives et déformations de courbes lisses

Jean-Marc Drézet (2013)

Annales de la faculté des sciences de Toulouse Mathématiques

Similarity:

Une est une variété de Cohen-Macaulay Y telle que C = Y r e d soit une courbe lisse irréductible, et que Y puisse être localement plongée dans une surface lisse. Soient T une courbe lisse et t 0 T . Soient 𝒟 T une famille plate de courbes lisses irréductibles, et C = 𝒟 t 0 . Alors le n -ième voisinage infinitésimal de C dans 𝒟 est une courbe multiple primitive de multiplicité n , et le faisceau d’idéaux C de C dans C n est le fibré trivial sur la courbe induite C n - 1 de multiplicité n - 1 . Réciproquement, on montre que...

Sur les orbites d’un sous-groupe sphérique dans la variété des drapeaux

Nicolas Ressayre (2004)

Bulletin de la Société Mathématique de France

Similarity:

Soient G un groupe algébrique complexe réductif et connexe, B un sous-groupe de Borel de G et H un sous-groupe sphérique de G . Soit X un plongement G × G -équivariant de G . Nous savons que B × H n’a qu’un nombre fini d’orbites dans G  ; nous montrons qu’il n’en a qu’un nombre fini dans X . Soit V ¯ l’adhérence dans X d’une orbite de B × H dans G et 𝒪 ¯ l’adhérence d’une orbite de G × G dans X . Si X est toroïdal, nous montrons que l’intersection V ¯ 𝒪 ¯ est propre dans X et la décrivons ensemblistement. Si de plus...