Solution générale sur un groupe abélien de l'équation fonctionelle f(x*f(y)) = f(f(x)*y).
In 1978 P. M. Gruber (Trans. Amer. Math. Soc. 245 (1978), 263–277) imposed the following general problem or Ulam type problem: “Suppose a mathematical object satisfies a certain property approximately. Is it then possible to approximate this objects by objects, satisfying the property exactly?" The afore-mentioned problem of P. M. Gruber is more general than the following problem imposed by S. M. Ulam in 1940 (Intersci, Publ., Inc., New York 1960): “Give conditions in order for a linear mapping...
In 1940 S. M. Ulam (Intersci. Publ., Inc., New York 1960) imposed at the University of Wisconsin the problem: “Give conditions in order for a linear mapping near an approximately linear mapping to exist”. According to P. M. Gruber (Trans. Amer. Math. Soc. 245 (1978), 263–277) the afore-mentioned problem of S. M. Ulam belongs to the following general problem or Ulam type problem: “Suppose a mathematical object satisfies a certain property approximately. Is it then possible to approximate this objects...
We are investigating quasigroup functional equation classification up to parastrophic equivalence [Sokhatsky F.M.: On classification of functional equations on quasigroups, Ukrainian Math. J. 56 (2004), no. 4, 1259–1266 (in Ukrainian)]. If functional equations are parastrophically equivalent, then their functional variables can be renamed in such a way that the obtained equations are equivalent, i.e., their solution sets are equal. There exist five classes of generalized distributive-like quasigroup...
Let be a group and an abelian group. Let be the set of solutions of the Jensen functional equation satisfying the condition for all . Let be the set of solutions of the quadratic equation satisfying the Kannappan condition for all . In this paper we determine solutions of the Whitehead equation on groups. We show that every solution of the Whitehead equation is of the form , where and . Moreover, if has the additional property that implies for all , then every...
Soit un entier naturel non nul, et une fonction entière de variables complexes. Dans un article précédent, nous avons démontré dans le cas , que si est une solution d’un système de équations aux différences à coefficients polynomiaux dans deux directions différentes, avec une condition restrictive portant sur les équations, alors est le quotient d’un polynôme exponentiel par un polynôme. Dans cet article, nous démontrons ce résultat dans le cas général, et l’analogue pour le cas de...
En réponse à une question de D.W. Masser, nous démontrons que, pour presque tout système d’équations aux différencesoù les et les sont des polynômes non tous nuls et sont -linéairement indépendants, toute solution qui est une fonction entière est le quotient d’un polynôme exponentiel par un polynôme. Nous avons un résultat semblable quand la deuxième équation est remplacée par une équation différentielle .
This work deals with Feigenbaum’s functional equation ⎧ , ⎨ ⎩ g(0) = 1, -1 ≤ g(x) ≤ 1, x∈[-1,1] where p ≥ 2 is an integer, is the p-fold iteration of g, and h is a strictly monotone odd continuous function on [-1,1] with h(0) = 0 and |h(x)| < |x| (x ∈ [-1,1], x ≠ 0). Using a constructive method, we discuss the existence of continuous unimodal even solutions of the above equation.
Dans cette note, nous prouvons l’existence de solutions indéfiniment différentiables d’un système de deux équations aux différences et appliquons la technique utilisée à l’étude des systèmes d’équations linéaires aux dérivées partielles.Dans chaque cas, on montre que les solutions sont les premières composantes des solutions d’un système matriciel que nous étudions.
On s’intéresse aux solutions méromorphes sur d’un système de deux équations aux différences à coefficients constants et à deux pas récurrents. Lorsqu’on fait varier ce système, les solutions décrivent une certaine algèbre en rapport avec les fonctions elliptiques habituelles et celles de deuxième espèce de Hermite, ainsi que la fonction de Jacobi. Pour un système donné, les solutions trouvées forment sur le corps des fonctions elliptiques un espace vectoriel de dimension finie, en rapport...