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Sur l’homologie des groupes orthogonaux et symplectiques à coefficients tordus

Aurélien Djament, Christine Vespa (2010)

Annales scientifiques de l'École Normale Supérieure

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On calcule dans cet article l’homologie stable des groupes orthogonaux et symplectiques sur un corps fini k à coefficients tordus par un endofoncteur usuel F des k -espaces vectoriels (puissance extérieure, symétrique, divisée...). Par homologie stable, on entend, pour tout entier naturel i , les colimites des espaces vectoriels H i ( O n , n ( k ) ; F ( k 2 n ) ) et H i ( Sp 2 n ( k ) ; F ( k 2 n ) ) — dans cette situation, la stabilisation (avec une borne explicite en fonction de i et F ) est un résultat classique de Charney. Tout d’abord, nous donnons...

Sur la détermination de certains sous-groupes du groupe L S 1 à l’aide d’équations fonctionnelles

S. Midura

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TABLE DES MATIÈRESIntroduction.................................................................................................................... 5I. Les sous-groupes du groupe Z r ..................................................................... 8II. Les sous-groupes du groupe L 3 1 ............................................................... 19III. Les sous-groupes du groupe L r 1 pour r > 3............................................. 31Références.......................................................................................................................

Sur certaines extensions de SU ( n , 4 )

Marguerite-Marie Virotte-Ducharme (2001)

Bulletin de la Société Mathématique de France

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Dans cet article, on étudie certaines extensions scindées et non scindées des groupes unitaires SU ( n , 4 ) , pour n 4 , sur le corps 𝔽 4 par des 2 -groupes extra-spéciaux. Les extensions ainsi obtenues sont des groupes de 3 -transpositions, on en donne des présentations fischériennes.

Groupe de Brauer non ramifié d’espaces homogènes de tores

Jean-Louis Colliot-Thélène (2014)

Journal de Théorie des Nombres de Bordeaux

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Soient k un corps et X une k -variété projective et lisse. Si X est géométriquement rationnelle, on dispose d’une application injective du quotient de groupes de Brauer Br ( X ) / Br ( k ) dans le premier groupe de cohomologie galoisienne du réseau défini par le groupe de Picard géométrique de X . Dans cette note on donne des cas où cette application est toujours surjective. Pour les espaces homogènes de certains tores algébriques, on donne des générateurs explicites dans Br ( X ) . On applique cela à l’étude du...

Groupes totaux

Bruno Deschamps, Ivan Suarez Atias (2013)

Annales mathématiques Blaise Pascal

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Les « groupes totaux » sont les groupes pour lesquels la dimension du centre l’algèbre des invariants d’une algèbre simple centrale 𝔄 f associée à un 2 -cocycle f Z 2 ( Gal ( L / k ) , L * ) sous l’action d’un relevé de l’action galoisienne à 𝔄 f est constante quels que soient k et f . Dans cet article, nous montrons que les groupes quasi-CC (qui sont les groupes de centre cyclique et dont les centralisateurs des éléments hors du centre sont cycliques) sont totaux. Les groupes de type CC qui sont les groupes quasi-CC...

Représentations lisses de G L ( m , D ) I : caractères simples

Vincent Sécherre (2004)

Bulletin de la Société Mathématique de France

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Ce travail s’inscrit dans le cadre de la théorie des types pour les groupes réductifs sur un corps local non archimédien. Étant donnés un tel corps F et une algèbre à division D de centre F , de dimension finie sur celui-ci, nous produisons, pour toute strate simple de l’algèbre de matrices M ( m , D ) , m 1 , un ensemble de caractères simples au sens de Bushnell et Kutzko. Ceux-ci sont reliés à ceux construits dans le cas déployé par un principe de transfert.

Sur l’indépendance de l en cohomologie l -adique sur les corps locaux

Weizhe Zheng (2009)

Annales scientifiques de l'École Normale Supérieure

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Gabber a déduit son théorème d’indépendance de  l de la cohomologie d’intersection d’un résultat général de stabilité sur les corps finis. Dans cet article, nous démontrons un analogue sur les corps locaux de ce résultat général. Plus précisément, nous introduisons une notion d’indépendance de  l pour les systèmes de complexes de faisceaux l -adiques sur les schémas de type fini sur un corps local équivariants sous des groupes finis et nous établissons sa stabilité par les six opérations...

De beaux groupes

Thomas Blossier, Amador Martin-Pizarro (2014)

Confluentes Mathematici

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Dans une belle paire ( M , E ) de modèles d’une théorie stable T ayant élimination des imaginaires sans la propriété de recouvrement fini, tout groupe définissable se projette, à isogénie près, sur les points E -rationnels d’un groupe définissable dans le réduit à paramètres dans E . Le noyau de cette projection est un groupe définissable dans le réduit. Un groupe interprétable dans une paire ( K , F ) de corps algébriquement clos où K est une extension propre de F est, à isogénie près, l’extension...

Constantes de Sobolev des arbres

Marc Bourdon (2007)

Bulletin de la Société Mathématique de France

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Étant donnés p [ 1 , + [ et un arbre T dont chaque sommet est de valence au moins  3 , on étudie la constante de Sobolev d’exposant p de T , c’est-à-dire la plus petite constante σ p telle que pour tout u p ( T 0 ) on ait u p p σ p d u p p . Notre motivation vient de la recherche de graphes finis avec des petites constantes de Poincaré d’exposant  p , en vue d’obtenir des exemples de groupes qui ont la propriété de point fixe sur les espaces L p .

La relation linéaire a = b + c + + t entre les racines d’un polynôme

Franck Lalande (2007)

Journal de Théorie des Nombres de Bordeaux

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Nous nous intéressons à la question suivante : À quelles conditions un groupe G est-il le groupe de Galois (principalement sur le corps des rationnels) d’un polynôme irréductible dont certaines racines distinctes vérifient une relation linéaire du type a = b + c + + t  ? Nous montrons que la relation a = b + c est possible dès que G contient un sous-groupe d’ordre 6 , nous décrivons les groupes abéliens pour lesquels la relation a = b + c + d est satisfaite et construisons une famille de relations a = b + c + + t de longueur 1 + ( m - 2 ) ( m - 3 ) / 2 pour...