Sums of squares and quadratric forms in real algebraic geometry
In IMUJ Preprint 2009/05 we investigated the quasianalytic perturbation of hyperbolic polynomials and symmetric matrices by applying our quasianalytic version of the Abhyankar-Jung theorem from IMUJ Preprint 2009/02, whose proof relied on a theorem by Luengo on ν-quasiordinary polynomials. But those papers of ours were suspended after we had become aware that Luengo's paper contained an essential gap. This gave rise to our subsequent article on quasianalytic perturbation theory, which developed,...
Soit l’algèbre des fonctions sur engendrée par les fonctions polynomiales et les exponentielles de formes linéaires. La partie de appartient à si et seulement s’il existe et dans pour lesquels est l’image par la projection canonique de sur , de l’ensemble des zéros de . Soit le plus petit sous-ensemble de parties de qui contient , l’adhérence de ses éléments et les images par la projection canonique de qui contient , l’adhérence de ses éléments et les images par la...
On s’intéresse aux difféomorphismes birationnels des surfaces algébriques réelles qui possèdent une dynamique réelle simple et une dynamique complexe riche. On donne un exemple d’une telle transformation sur , mais on montre qu’une telle situation est exceptionnelle et impose des conditions fortes à la fois sur la topologie du lieu réel et sur la dynamique réelle.
L’espace de module des applications stables vers l’espace projectif possède naturellement une structure réelle dont la partie réelle est une variété projective normale. Cette dernière est un espace de module pour les courbes spatiales rationnelles réelles avec des points marqués réels. Puisque le lieu singulier est de codimension au moins deux, une première classe de Stiefel-Whitney est bien définie. Dans cet article nous déterminons un représentant pour la première classe de Stiefel-Whitney dans...
Une courbe réelle peut avoir des points doubles ordinaires de trois types différents : des points doubles réels à tangentes réelles, des points doubles réels isolés dans le domaine réel et des points doubles imaginaires. Soient des entiers tels que (où désigne la borne de Castelnuovo). On construit une courbe réelle irréductible de degré , non dégénérée dans l’espace projectif (i.e. non contenue dans un hyperplan) ayant pour seules singularités points doubles réels à tangentes réelles,...