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Sur les corps de Hilbert-Speiser

Thomas Herreng (2005)

Journal de Théorie des Nombres de Bordeaux

On dit qu’un corps est de Hilbert-Speiser en un premier p si toute extension modérée abélienne finie de degré p admet une base normale entière. On dit qu’un corps est de Hilbert-Speiser s’il est de Hilbert-Speiser pour tout premier p . Il est bien connu que est un tel corps. Dans un article [3] de 1998, Greither, Replogle, Rubin et Srivastav ont montré que était le seul corps de Hilbert-Speiser. On donne ici une condition nécessaire et suffisante pour qu’un corps soit de Hilbert-Speiser en p = 2 ....

Sur les corps finis

G. Heuzé (1974)

Mathématiques et Sciences Humaines

La théorie des corps finis a été faite il y a longtemps et ne comporte plus de problèmes ouverts. Toutefois, quand l'utilisateur cherche à déterminer effectivement un corps fini d'ordre donné, il rencontre des difficultés : après avoir eu beaucoup de mal pour obtenir un polynome irréductible unitaire de degré convenable, il constate souvent que les racines de ce polynome n'engendrent pas le groupe multiplicatif des éléments non nuls, d'où des complications pour obtenir la table multiplicative du...

Sur les ensembles de Julia et Fatou des fonctions entières ultramétriques

Jean-Paul Bézivin (2001)

Annales de l’institut Fourier

Soit p un nombre premier rationnel. Le sujet de l’article est l’étude de la dynamique des fonctions entières p -adiques. On démontre des résultats analogues à ceux connus dans le domaine complexe, en particulier si deux fonctions entières p -adiques qui ont un point répulsif commun commutent, alors leurs ensembles de Julia et de Fatou sont les mêmes.

Sur les ensembles d'entiers reconnaissables

Fabien Durand (1998)

Journal de théorie des nombres de Bordeaux

Soient U et V deux systèmes de numération de Bertrand, α et β deux β -nombres multiplicativement indépendants tels que L ( U ) = L ( α ) et L ( V ) = L ( β ) , et E un sous-ensemble de . Si E est U -reconnaissable et V -reconnaissable alors E est une réunion finie de progressions arithmétiques.

Sur les entiers inférieurs à x ayant plus de log ( x ) diviseurs

Marc Deléglise, Jean-Louis Nicolas (1994)

Journal de théorie des nombres de Bordeaux

Let τ ( n ) be the number of divisors of n ; let us define S λ ( x ) = C a r d n x ; τ ( n ) ( log x ) λ log 2 if λ 1 C a r d n x ; τ ( n ) < ( log x ) λ log 2 if λ < 1 It has been shown that, if we set f ( λ , x ) = x ( log x ) λ log λ - λ + 1 log log x the quotient S λ ( x ) / f ( λ , x ) is bounded for λ fixed. The aim of this paper is to give an explicit value for the inferior and superior limits of this quotient when λ 2 . For instance, when λ = 1 / log 2 , we prove lim inf S λ ( x ) f ( λ , x ) = 0 . 938278681143 and lim inf S λ ( x ) f ( λ , x ) = 1 . 148126773469

Sur les entiers N pour lesquels il y a beaucoup de groupes abéliens d’ordre N

Jean-Louis Nicolas (1978)

Annales de l'institut Fourier

Soit a ( n ) le nombre de groupes abéliens d’ordre n . Pour étudier les grandes valeurs prises par a ( n ) , on définit, comme l’a fait Ramanujan pour le nombre de diviseurs de n , les nombres a -hautement composés et a -hautement composés supérieurs. Pour calculer ces derniers nombres, on détermine les sommets de l’enveloppe inférieure convexe de la fonction log P ( n ) P ( n ) est le nombre de partitions de n . Sous l’hypothèse de Riemann, on donne un développement asymptotique de l’ordre maximum de la fonction a ( n ) .

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