Sur les espaces riemanniens avec bords singuliers
Nous montrons qu’une variété CR strictement pseudoconvexe, de dimension 3, analytique réelle, est le bord à l’infini d’une unique métrique d’Einstein autoduale, définie dans un petit voisinage. La preuve s’appuie sur une construction nouvelle d’espaces de twisteurs à l’aide de courbes rationnelles singulières.
À l’aide d’un théorème fondamental de compacité de Gromov on démontre ceci : pour tout entier pair il existe un nombre réel positif tel que, si une variété riemannienne complète de dimension possède une courbure sectionnelle comprise entre 1 et , alors est soit homéomorphe à la sphère , soit difféomorphe à un espace métrique compact de rang 1.
On attache a une surface riemannienne de diamètre grand comparé à son aire et à sa courbure un graphe qui l’approche au sens de Hausdorff-Gromov. Ceci fournit une compactification grossière de l’espace des surfaces à courbure et aire bornées. Dans le cas particulier des surfaces à courbure -1, on obtient une sorte de squelette métrique de l’espace des modules.
It is shown the existence of an uncountable infinity of asymptotic structures (i.e. equivalence's classes of quasi-isometric riemannian metrics) on the non compact manifold .
It is shown the existence of an uncountable infinity of asymptotic structures (i.e. equivalence's classes of quasi-isometric riemannian metrics) on the conformal class of the hyperbolic plan .
Soit une surface complexe réglée. Nous introduisons des métriques de volume fini sur dons les singularités sont paramétrisées par une structure parabolique sur le fibré . Nous généralisons alors un résultat de Burns-deBartolomeis et Le Brun, en montrant que l’existence de métriques kählériennes singulières, de volume fini, à courbure scalaire constante négative ou nulle sur est équivalente à une condition de polystabilité parabolique sur ; de plus ces métriques proviennent toutes de quotients...