Sur la suite exacte canonique associée à un fibré principal
On étudie la structure naturelle d’algèbre de Lie de l’espace des sections de classe d’un fibré localement trivial dont la fibre-type est une algèbre de Lie ; on décrit, en particulier, ses dérivations et ses automorphismes. On détermine les algèbres de Lie pour lesquelles cette structure caractérise la structure différentiable de la base du fibré.
Nous considérons l’action de la monodromie sur l’homologie de la fibre de Milnor d’une singularité complexe. Cette action est plus compliquée que prévu : en effet nous montrons que, sur , elle n’est, en général, pas somme directe de modules cycliques. Nous donnons également des exemples prouvant que la monodromie rationnelle ne détermine pas la monodromie entière et que la monodromie entière ne détermine pas la topologie.
Le but de cet article est de démontrer deux conditions nécessaires de non existence d’ensemble minimal exceptionnel dans un feuilletage de codimension 1 d’une variété compacte . La première est métrique ; elle porte sur la croissance des feuilles et elle répond à une conjecture de Plante. La seconde est homotopique, elle porte sur les groupes fondamentaux de et des feuilles de .De ces deux conditions, nous déduisons deux conditions nécessaires et suffisantes pour qu’un feuilletage soit sans...
Nous construisons un feuilletage exotique de classe sur tout fibré hyperbolique de genre . Nous montrons égalemnt des théorèmes de rigidité des feuilletages modèles sur certains fibrés pseudo-Anosov.
M. Steinberger et J. West ont prouvé dans [7] qu’un fibré de Serre p:E → B entre CW-complexes a la propriété de relèvement des homotopies par rapport aux k-espaces. Malheureusement, leur démonstration contient une légère erreur. Ils affirment que certains ensembles (notés U et ) sont des CW-complexes car ce sont des ouverts de CW-complexes. Ceci est généralement faux, et notre premier objectif dans cette note est de donner des exemples d’ouverts de CW-complexes n’admettant aucune décomposition...
On montre que sur toute variété de dimension 3 compacte orientable munie d’une action libre de , il existe une forme de contact invariante induisant une 1-forme invariante donnée sur une surface invariante de , si et seulement si et ne s’annulent pas simultanément.
We show that for n ≥ 3 the symplectic group Sp(n) is as a 2-compact group determined up to isomorphism by the isomorphism type of its maximal torus normalizer. This allows us to determine the integral homotopy type of Sp(n) among connected finite loop spaces with maximal torus.