Sur la monogeneite de l'anneau des entiers de certains corps de rayon.
Nous construisons des familles ordinaires -adiques de formes modulaires pour le groupe . Notre travail généralise et précise des travaux antérieurs de Hida.
Nous donnons une démonstration du fait que le groupe des classes d’un schéma irréductible de type fini sur est de type fini. Cette preuve ne repose pas sur le théorème de Mordell-Weil-Néron, mais plutôt sur le théorème de Mordell-Weil classique, le théorème de Néron-Severi et les théorèmes de Hironaka et de Jong sur la résolution des singularités. Nous en déduisons quelques corollaires, parmi lesquels le théorème de Mordell-Weil-Néron lui-même.
Soit une surface projective fibrée au-dessus d’une courbe et définie sur un corps de nombres . Nous donnons une interprétation du rang du groupe de Mordell-Weil sur de la jacobienne de la fibre générique (modulo la partie constante) en termes de moyenne des traces de Frobenius sur les fibres de . L’énoncé fournit une réinterprétation de la conjecture de Tate pour la surface et généralise des résultats de Nagao, Rosen-Silverman et Wazir.
Ce texte est un survey concernant la question du rang d’une variété abélienne sur un corps de fonctions en une variable sur un corps de base . Il s’agit non seulement de discuter une borne supérieure pour ce rang, mais aussi d’étudier le comportement de cette borne si on prend une extension abélienne finie de . On se demande aussi : que se passe-t-il quand on enlève cette dernière hypothèse ? Dans un cas particulier, on discute de la validité d’un analogue du théorème de Lang-Néron. Pour...
Existe-t-il deux courbes elliptiques sur non isogènes sur , et un entier , tels que les représentations de définies par leurs groupes des points de -torsion soient symplectiquement isomorphes ? Cette question a été posée par B. Mazur en 1978. Dans le cas où , on explicite une infinité d’exemples répondant positivement à cette question.