Suppression des singularités de codimension plus grande que 1 dans les familles de fonctions différentiables réelles
Nous démontrons la finitude de la cohomologie de l’algèbre de Lie des champs de vecteurs formels à variables, respectant la forme de contact universelle .
On démontre que dans toute surface rationnelle, non-isomorphe au plan projectif, il existe une feuilletage analytique rigide, possédant des feuilles algébriques et n’ayant que des singularités isolées.
On introduit une relation d’équivalence entre feuilletages ayant la même géométrie transverse. La notion de feuilletage (-variété) est obtenue en utilisant comme modèles locaux les espaces quotients de feuilletages, modulo cette relation d’équivalence. On étudie brièvement les feuillages du point de vue différentiable.
Nous considérons l’action de la monodromie sur l’homologie de la fibre de Milnor d’une singularité complexe. Cette action est plus compliquée que prévu : en effet nous montrons que, sur , elle n’est, en général, pas somme directe de modules cycliques. Nous donnons également des exemples prouvant que la monodromie rationnelle ne détermine pas la monodromie entière et que la monodromie entière ne détermine pas la topologie.
Le but de cet article est de démontrer deux conditions nécessaires de non existence d’ensemble minimal exceptionnel dans un feuilletage de codimension 1 d’une variété compacte . La première est métrique ; elle porte sur la croissance des feuilles et elle répond à une conjecture de Plante. La seconde est homotopique, elle porte sur les groupes fondamentaux de et des feuilles de .De ces deux conditions, nous déduisons deux conditions nécessaires et suffisantes pour qu’un feuilletage soit sans...