Displaying 21 – 40 of 146

Showing per page

Classe de conjugaison du frobenius des variétés abéliennes à réduction ordinaire

Rutger Noot (1995)

Annales de l'institut Fourier

Soient X une variété abélienne sur un corps de nombres E et G son groupe de Mumford–Tate. Soit v une valuation de E et pour tout nombre premier tel que v ( ) = 0 , soit F G ( Q ) l’automorphisme de Frobenius (géométrique) de la cohomologie étale -adique de X . On montre que si X a une bonne réduction ordinaire en v , alors il existe F G ( Q ) tel que, pour tout , F soit conjugué à F dans G ( Q ) . On montre un résultat analogue pour le frobenius de la cohomologie cristalline de la réduction de X modulo v .

Classes de Chern et classes de cycles en cohomologie rigide

Denis Petrequin (2003)

Bulletin de la Société Mathématique de France

Nous construisons dans cet article les classes de Chern et les classes de cycles en cohomologie rigide. Nous démontrons par la suite que ces constructions vérifient bien les propriétés attendues. La cohomologie rigide est donc une cohomologie de Weil.

Classes de cohomologie positives dans les variétés kählériennes compactes

Olivier Debarre (2004/2005)

Séminaire Bourbaki

Étant donnée une variété kählérienne compacte X , on étudie dans l’espace vectoriel réel de cohomologie de Dolbeault H 1 , 1 ( X , 𝐑 ) H 2 ( X , 𝐑 ) le cône convexe des classes de Kähler ainsi que celui, plus grand, des classes de courants positifs fermés de type ( 1 , 1 ) . Lorsque X est projective, les traces de ces cônes sur l’espace de Néron–Severi NS ( X ) 𝐑 H 1 , 1 ( X , 𝐑 ) engendré par les classes entières sont respectivement le cône des classes de diviseurs amples et l’adhérence de celui des classes de diviseurs effectifs.

Classes d'Euler équivariantes et points rationnellement lisses

Alberto Arabia (1998)

Annales de l'institut Fourier

Lorsqu’un tore T agit sur une variété algébrique complexe X munie de la topologie transcendante, nous définissons la classe d’Euler T -équivariante d’un point fixe isolé x X T , qu’il soit lisse ou non. Cette classe est une fraction rationnelle à un nombre fini de variables et lorsque x est rationnellement lisse dans X , c’est un polynôme qui s’identifie canoniquement à la classe d’Euler équivariante usuelle, mais, réciproquement, lorsque la classe d’Euler équivariante est polynomiale, il n’est pas toujours...

Currently displaying 21 – 40 of 146